Passeport

Prendre rendez-vous pour déposer une demande de titre d'identité

Le service numérique de prise de rendez-vous de la Ville de Meaux vous proposera l'ensemble des rendez-vous disponibles sur les trois prochaines semaines.
Sélectionnez le lieu où vous souhaitez prendre votre rendez-vous :

Si tous les créneaux sont pris, n’hésitez pas à vous reconnecter régulièrement, en effet des créneaux se libèrent fréquemment !
en cas de difficultés dans vos démarches nous nous invitons à joindre le 01 60 09 97 29 du lundi au vendredi, le matin de 9h00 à 11h00.

Attention

Le Centre d'Expertise et de Ressources des Titres nous informe que le traitement des demandes de changement d'adresse sur CNI ou passeport  est momentanément suspendu.
Veuillez reporter cette démarche, non obligatoire, ultérieurement.
Merci de votre compréhension

Remplir une pré-demande en ligne 

Vous pouvez remplir une pré-demande en ligne et vous acquitter du timbre fiscal lors de votre saisie ou bien sur le site timbres.impots.gouv ou dans un bureau de tabac ou dans un centre des impôts. 

Réaliser une pré-demande de passeport en ligne  

Se présenter au rendez-vous 

Le jour du rendez-vous, vous présenterez la pré-demande imprimée de passeport, muni des pièces justificatives.  

Attention : 

  • Présentez-vous à l’heure à votre rendez vous 

  • La présence du bénéficiaire au dépôt de la demande de passeport est obligatoire 

  • Les mineurs, dont la présence est obligatoire, doivent venir accompagnés d’un représentant légal 

  • Tout dossier incomplet sera refusé et un nouveau rendez-vous sera planifié. 

Vous avez besoin d’un accueil particulier lié à un handicap ou à la santé ? n’hésitez pas à  joindre  le 01 60 09 97 00, un traitement personnalisé de votre demande sera mis en place !

Pièces à fournir 

Attention
Le dossier devra être constitué des originaux et des copies des pièces demandées, y compris des documents dématérialisés. Tout dossier incomplet sera refusé et un nouveau rendez-vous sera planifié

  • Une planche de photographie d’identité de moins de 6 mois et parfaitement ressemblante, de face, tête nue (format 35mm x 45 mm), norme ISO/IEC 19794-5:2005, en couleur, fond uni de couleur claire (bleu clair ou gris clair) le fond blanc est interdit. La norme est expliquée sur le site service.public

  • Le passeport ou la carte d’identité sécurisée (+ photocopie) 

  • Si la personne n’a pas de carte d’identité ou si celle-ci est périmée de plus de 2 ans, fournir un acte de naissance de moins de 3 mois. L’acte de naissance n’est pas nécessaire si la commune de naissance a adhéré à la dématérialisation des actes d'état-civil  

  • Le justificatif de domicile de moins de 1 an (+ photocopie) 

  • Le timbre fiscal de 86 euros pour les majeurs, de 42 euros pour les mineurs de 15 à 17 ans inclus et de 17 euros pour les mineurs de moins de 15 ans 

Pour les mineurs : pièce d’identité du parent présent (+ photocopie) 

  • Si le mineur souhaite conserver le nom d’usage : autorisation des père et mère + la photocopie de la carte d’identité nationale des père et mère 

  • En cas de divorce et de séparation : la photocopie du jugement de divorce, le(s) justificatif(s) sur la garde des enfants, la photocopie de la pièce d’identité et le justificatif de domicile du parent non présent. 

En complément des pièces à fournir ci-dessus 

  • Une photographie d’identité de moins de 6 mois et parfaitement ressemblante, de face, tête nue (format 35mm x 45 mm), norme ISO/IEC 19794-5:2005, en couleur, fond uni de couleur claire (bleu clair ou gris clair) le fond blanc est interdit. La norme est expliquée sur le site service.public

  • La déclaration de perte est à établir au commissariat ou au guichet lors du dépôt de la demande 
    Un titre en cours de validité ou périmé de moins de deux ans (carte nationale d’identité ou passeport suivant le cas) ; 

  • Si la personne n’a pas de carte d’identité ou si celle-ci est périmée de plus de 2 ans, fournir un acte de naissance de moins de 3 mois. L’acte de naissance n’est pas nécessaire si la commune de naissance a adhéré à la dématérialisation des actes d'état-civil  

  • Un timbre fiscal de 86 euros pour les majeurs, de 42 euros pour les mineurs de 15 à 17 ans inclus et de 17 euros pour les mineurs de moins de 15 ans pour le passeport. 

Retirer son titre d'identité 

Tout titre d’identité doit être retiré dans un délai de 3 mois à compter de sa mise à disposition (réception par le service dans lequel la demande a été déposée et envoi du SMS). 
Passé ce délai, le titre sera automatiquement détruit, sans possibilité de remboursement. Ce délai est fixé par l’État et la Ville de Meaux ne peut en aucun cas le prolonger.  

Attention : Si le bénéficiaire du passeport est âgé de 12 à 18 ans, il doit se présenter avec l’un des titulaires de l’autorité parentale (père, mère, tuteur légal) pour retirer son titre. 
Pour les enfants de moins de 12 ans, le passeport peut être retiré par l’un des titulaires de l’autorité parentale.

Effectuer ma démarche

Enregistrement audio de la démarche «Passeport», à destination des personnes non voyantes et malvoyantes et pour toutes les personnes empêchées de lire

Info+

Acte d’état civil: où puis-je me le procurer ? 

Si vous êtes né·e à l’étranger ou dans une commune reliée au dispositif COMEDEC, vous n’avez plus à produire d’acte d’état civil pour vos demandes de carte d’identité ou de passeport. 

En savoir plus sur les villes adhérentes à la dématérialisation

Dans le cas contraire, vous devez faire votre demande d’acte d’état civil auprès de la mairie de votre lieu de naissance 

Titre d’identité : quel justificatif de domicile ? 

Pour demander un titre d’identité, il faut fournir un justificatif de domicile. Attention, le document à produire dépend de votre situation. 

Pièces justificatives de domicile  

Justif'Adresse 

Pour ne plus avoir à fournir de justificatif de domicile 

Lors d’une demande en ligne d'un titre d'identité, le dispositif Justif’Adresse permet à l’administration de vérifier automatiquement l’adresse saisie et vous évite, si vous y adhérez, de fournir un justificatif de domicile. 

Pour plus d’infos et savoir comment ça marche : rendez-vous sur Service-Public.

Suivre l’état d'avancement de ma demande 

Conservez votre récépissé de dépôt de dossier afin de disposer de votre numéro de demande pour suivre l’état d’avancement de votre dossier sur ce site: Où en est mon passeport/CNI ? 

Comarquage

Contrat de sécurisation professionnelle (CSP)

Le CSP permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé, de bénéficier, après la rupture du contrat de travail, d'un ensemble de mesures donnant lieu à un reclassement accéléré proposé par France Travail (anciennement Pôle emploi). Pendant le CSP, le salarié perçoit une indemnisation par France Travail. La réglementation est différente en fonction de l'ancienneté du salarié.

Licenciement économique

L'obligation pour l'employeur de proposer le CSP diffère selon l'effectif de l'entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire de l'entreprise, le CSP est obligatoirement proposé.

Le CSP doit être proposé.

    L'entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.

    Toutefois, l'entreprise doit proposer le congé de reclassement.

      Le CSP doit être proposé si l'entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.

        Le salarié en  CDI  dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.

        Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours :

        Le CSP est proposé au cours de l'entretien préalable au licenciement.

          La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l'effectif de l'entreprise :

          Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d'un CSE dans l'entreprise :

          Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.

            Si l'entreprise n'a pas de CSE, l'employeur remet le document d'information du CSP lors de l'entretien préalable au licenciement.

                L'employeur remet le document d'information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :

                • Soit de la décision de validation de l'accord collectif par la  Dreets 

                • Soit de la décision d'homologation du document unilatéral de l'employeur par la Dreets.

                    Oui, le salarié bénéficie d'un délai de réflexion de 21 jours calendaires.

                    Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.

                    La date de remise au salarié du document d’information et la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l'employeur sur le bulletin d'acceptation du CSP.

                    Exemple

                    Si le document d'information est remis au salarié le 3 avril 2025, le délai de réflexion se terminera le 24 avril 2025 à minuit.

                    Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d'un entretien d'information réalisé par France Travail.

                    Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l'allocation de sécurisation professionnelle.

                    À noter

                    Si le licenciement concerne un salarié protégé, l'autorisation de la  Dreets  est obligatoire. Le délai de 21 jours est alors prolongé jusqu'au lendemain de la date de la décision de la Dreets communiquée à l'employeur.

                    L'écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l'acceptation du CSP.

                    Si le salarié refuse d'adhérer au CSP, l'employeur notifie le licenciement.

                    Le salarié perçoit, s'il remplit les conditions, les indemnités suivantes :

                    Le salarié peut percevoir l'allocation chômage d'aide au retour à l'emploi (ARE) s'il remplit les conditions.

                    Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d'un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.

                    L'employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.

                    La durée du CSP est de 12 mois maximum.

                    Oui le salarié peut toucher différentes indemnités de la part de l'employeur s'il accepte le CSP.

                    Indemnité de licenciement

                    Le salarié perçoit l'indemnité de licenciement s'il remplit les conditions d'ancienneté.

                    Indemnité compensatrice de préavis

                    Le salarié ne perçoit pas d'indemnité compensatrice de préavis, puisque le contrat est rompu dès la fin du délai de réflexion pour accepter le CSP.

                    L'employeur verse à France Travail l'équivalent de l'indemnité que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.

                    Si le montant du préavis est supérieur à 3 mois de salaire, la part d'indemnité supérieure à ces 3 mois sera versée au salarié par l'employeur dès la fin de son contrat de travail.

                    Indemnité compensatrice de congés payés

                    Le salarié peut percevoir une indemnité compensatrice de congés payés.

                    Le salarié a droit au versement de l'allocation de sécurisation professionnelle (ASP).

                    Le salarié bénéficie d'une allocation dont le montant équivaut à 75 % du salaire journalier de référence.

                    Cette allocation est au moins équivalent au montant de l'allocation de retour à l'emploi (ARE) que le salarié aurait perçu en cas de licenciement sans CSP.

                    Il est possible d'estimer le montant des allocations chômage en utilisant un simulateur :

                  • Guide des simulateurs d'allocations et aides de France Travail (anciennement Pôle emploi)
                  • Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l'une des situations suivantes :

                    • Refus (sans motif légitime) d'une action de reclassement et de formation

                    • Refus à 2 reprises d'une offre raisonnable d'emploi

                    • Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP

                    • Reprise d'activité en  CDD  d'au moins 6 mois ou en  CDI .

                    Si, à la fin du CSP, le salarié est toujours à la recherche d'un emploi, il peut percevoir l'allocation chômage d'aide au retour à l'emploi (ARE).

                    L'ARE est versée sans différé d'indemnisation, ni délai d'attente.

                    La durée de l'indemnisation est réduite du nombre de jours durant lesquels le salarié a perçu l'allocation de sécurisation professionnelle (ASP).

                    L'obligation pour l'employeur de proposer le CSP diffère selon l'effectif de l'entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.

                    Le CSP doit être proposé.

                      L'entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.

                      Toutefois, l'entreprise doit proposer le congé de reclassement.

                        Le CSP doit être proposé si l'entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.

                          Le salarié en  CDI  dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.

                          Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours :

                          Le CSP est proposé au cours de l'entretien préalable au licenciement.

                            La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l'effectif de l'entreprise :

                            Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d'un CSE dans l'entreprise :

                            Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.

                              Si l'entreprise n'a pas de CSE, l'employeur remet le document d'information du CSP lors de l'entretien préalable au licenciement.

                                  L'employeur remet le document d'information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :

                                  • Soit de la décision de validation de l'accord collectif par la  Dreets 

                                  • Soit de la décision d'homologation du document unilatéral de l'employeur par la Dreets.

                                      Oui, le salarié bénéficie d'un délai de réflexion de 21 jours calendaires.

                                      Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.

                                      La date de remise au salarié du document d’information ainsi que la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l'employeur sur le bulletin d'acceptation du CSP.

                                      Exemple

                                      Si le document d'information est remis au salarié le 3 avril 2025, le délai de réflexion se terminera le 24 avril 2025 à minuit.

                                      Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d'un entretien d'information réalisé par France Travail.

                                      Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l'allocation de sécurisation professionnelle.

                                      À noter

                                      Si le licenciement concerne un salarié protégé, l'autorisation de la  Dreets  est obligatoire. Le délai de 21 jours est alors prolongé jusqu'au lendemain de la date de la décision de la Dreets communiquée à l'employeur.

                                      L'écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l'acceptation du CSP.

                                      Si le salarié refuse d'adhérer au CSP, l'employeur notifie le licenciement.

                                      Le salarié perçoit, s'il remplit les conditions, les indemnités suivantes :

                                      Le salarié peut percevoir l'allocation chômage d'aide au retour à l'emploi (ARE) s'il remplit les conditions.

                                      Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d'un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.

                                      L'employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.

                                      La durée du CSP est de 12 mois maximum.

                                      Oui le salarié peut toucher différentes indemnités de la part de l'employeur s'il accepte le CSP.

                                      Indemnité de licenciement

                                      Le salarié perçoit l'indemnité de licenciement s'il remplit les conditions d'ancienneté.

                                      Indemnité compensatrice de préavis

                                      Le salarié perçoit une indemnité compensatrice de préavis.

                                      Le montant de l'indemnité correspond à ce que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.

                                      Indemnité compensatrice de congés payés

                                      Le salarié peut percevoir une indemnité compensatrice de congés payés.

                                      Le salarié a droit au versement de l'allocation de sécurisation professionnelle (ASP).

                                      Son montant équivaut au montant de l'allocation de retour à l'emploi (ARE).

                                      Il est possible d'estimer le montant des allocations chômage en utilisant ce simulateur :

                                    • Guide des simulateurs d'allocations et aides de France Travail (anciennement Pôle emploi)
                                    • Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l'une des situations suivantes :

                                      • Refus (sans motif légitime) d'une action de reclassement et de formation

                                      • Refus à 2 reprises d'une offre raisonnable d'emploi

                                      • Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP

                                      • Reprise d'activité en  CDD  d'au moins 6 mois ou en  CDI .

                                      Si, à la fin du CSP, le salarié est toujours à la recherche d'un emploi, il peut percevoir l'allocation chômage d'aide au retour à l'emploi (ARE).

                                      L'ARE est versée sans différé d'indemnisation, ni délai d'attente.

                                      La durée de l'indemnisation est réduite du nombre de jours durant lesquels le salarié a perçu l'allocation de sécurisation professionnelle (ASP).

                                      • Pour obtenir des informations sur le CSP pour les employeurs :
                                        France Travail (anciennement Pôle emploi) pour les employeurs - 3995

                                        Numéro unique pour les entreprises, les artisans, les commerçants et les employeurs qui souhaitent recruter, déposer une offre d'emploi et obtenir des informations sur le recrutement et les aides à l'embauche

                                        Par téléphone

                                        39 95

                                        Du lundi au samedi de 7h30 à 20h

                                        Numéro gris ou banalisé : coût d'un appel vers un fixe et service gratuit, depuis un téléphone fixe ou mobile

                                        Depuis l'étranger et pour les entreprises frontalières, composer le +33 1 77 86 39 95